L’état civil
- Les principes généraux de l’état civil en France
- Les documents d’état civil en France
- L’état civil consulaire en France
- L’officier d’état civil consulaire et le service central d’état civil (SCEC) de Nantes
- Transcription des actes d’état civil étrangers concernant des Français
- Mariage des Français en pays étranger
- Etat civil des étrangers devenus français
- Etat civil établi dans une colonie ou un protectorat français avant l’indépendance
- Texte abrogés ou caducs
- L’état civil des réfugiés, apatrides et bénéficiaires de la protection subsidiaire
- Le contentieux de l’état civil étranger
- La force probante d’un acte d’état civil étranger
- Contestation d’un acte d’état civil par l’administration
- Contestation d’un acte d’état civil dans le cadre d’une demande de visa
- Contentieux des transcriptions d’actes d’état civil
- Jugements étrangers
- Preuves : possession d’état, titres et témoins
- Preuves de la filiation et de la minorité
- Texte abrogés ou caducs
- Avis divers
- Texte abrogés ou caducs
- Les principes généraux de l’état civil en France
- Textes principaux
-
Code civil
Essentiellement le livre premier - Des personnes - Nouveau code de procédure civile
-
Circulaire du 23 juillet 2014
relative à l’état civil
NOR : JUS/C/14/12888/C (Min. justice) -
Circulaire du 28 octobre 2011
relative aux règles particulières à divers actes de l’état civil relatifs à la naissance et à la filiation
NOR : JUS/C/1119808/C -
Instruction générale relative à l’état civil (Igréc) du 11 mai 1999
NOR : JUS/X/9903625/J - Actes enregistrés par l’officier d’état civil
- Code pénal - atteintes à l’état civil des personnes, délits et contraventions
- Code général des collectivités territoriales - l’état civil municipal
-
Décret n°62-921 du 3 août 1962
modifiant certaines règles relatives aux actes de l’état civil - Les officiers de l’état civil municipaux selon l’Igréc 2 à 33
- Légalisation, apostille, dispense
-
Convention faite à Bruxelles le 25 mai 1987
relative à la suppression de la légalisation d’actes dans les États membres des communautés européennes -
Convention signée à Athènes le 15 septembre 1977
portant dispense de légalisation pour certains actes et documents, établie dans le cadre de la commission internationale de l’état civil -
Convention de La Haye du 5 octobre 1961
supprimant l’exigence de la légalisation des actes publics étrangers.
Voir le site www.hcch.net notamment son espace apostille -
Convention signée à Luxembourg le 26 septembre 1957
relative à la délivrance et à la dispense de légalisation des expéditions d’actes de l’état civil,
établie dans le cadre de la commission internationale de l’état civil -
Décret n°2007-1205 du 10 août 2007
relatif aux attributions du ministre des affaires étrangères, des ambassadeurs et des chefs de poste consulaire en matière de légalisation d’actes
NOR : MAE/F/0760489/D -
Circulaire du 1er avril 2003
relative à la fraude en matière d’actes d’état civil étrangers produits aux autorités françaises
NOR : JUS/C/0320085/C - Légalisation et dérogations selon l’Igréc 587-599
-
Cour de cassation 1re civ., 4 juin 2009, n° 08-13541
Malgré l’abrogation de l’ordonnance de la marine d’août 1681, la formalité de la légalisation des actes de l’état civil établis par une autorité étrangère et destinés à être produits en France demeure, selon la coutume internationale et sauf convention contraire. -
Cour de cassation 1re civ., 4 juin 2009, n° 08-10962
Les autorités consulaires du pays où un acte d’état civil étranger a été établi sont compétentes pour le légaliser -
Légalisation, apostille ou dispense en mai 2013
État des conventions internationales établies avec la France - Droit à avoir un état civil et jugements supplétifs
- Convention de Genève et CIDE - droit à avoir un état civil
- Nouveau code de procédure civile - La rectification ou l’annulation judiciaire
- Absence d’état civil connu selon l’Igréc 273-1
- Actes omis, détruits, erronés ou modifiés selon l’Igréc 136 à 192
- Cour d’appel de Paris n° 07/05600, 3 juillet 2008
-
TGI Paris, 18 janvier 2006, n°0410188
Toute personne vivant en France doit être pourvue d’un état civil et pouvoir justifier de son identité, le jugement du TGI, reprenant l’identité et l’âge établis par le jeune étranger majeur, tient lieu d’acte de naissance. -
TGI Créteil, 12 janvier 2002, n°10027/2001
Le juge, au regard des pièces qui lui sont apportées, énonce un jugement déclaratif de naissance. - Etrangers en France
- Les documents d’état civil en France
- Généralités
-
Code civil - dispositions générales relatives à l’état civil
Articles 34 à 54 -
Valeur probante des actes établis par l’officier d’état civil français
Code civil art. 1317 et Igréc 1 -
Cour de cassation 1re civ, 14 juin 1983, 82-13247
L’acte d’état civil est un écrit dans lequel l’autorité publique constate, d’une manière authentique, un événement dont dépend l’état d’une ou plusieurs personnes. - Acte de naissance
-
Code civil - Des actes de naissance
Articles 55 à 59 - Déclaration de la naissance selon l’Igréc 269-275-1
- Acte de reconnaissance
-
Code civil - De la reconnaissance
Articles 62 et 62-1 -
Circulaire du 20 mars 2019
de présentation des dispositions destinées à lutter a priori contre les reconnaissances frauduleuses de paternité et de maternité
NOR : JUSC1904138C - L’acte de reconnaissance selon l’Igréc 294-307
- Acte de mariage
-
Code civil - Du mariage : conditions, formalités et oppositions
Articles 144-148, 161-171 et 172-179 -
Code civil - Des actes de mariage
Articles 63 à 76 -
Loi n° 2006-1376 du 14 novembre 2006
relative au contrôle de la validité des mariages
NOR : JUS/X/05/00302/L -
Conseil constitutionnel - Décision n° 2003-484 du 20 novembre 2003
Le respect de la liberté du mariage s’oppose à ce que le caractère irrégulier du séjour d’un étranger fasse obstacle, par lui-même, au mariage de l’intéressé. -
Décret n° 2007-773 du 10 mai 2007
pris pour l’application de la loi n° 2006-1376 du 14 novembre 2006 relative au contrôle de la validité des mariages et modifiant diverses dispositions relatives à l’état civil
NOR : JUS/C/07/52942/D -
Circulaire CIV/09/10 du 22 juin 2010
relative à la lutte contre les mariages simulés - Constitution du dossier de mariage selon l’Igréc 347 à 363
- Acte de notoriété
-
Code civil - acte de notoriété
Articles 71-72, 310-3, 317 - L’acte de notoriété selon l’Igréc 354 à 358-1
-
Nouveau code de procédure civile - acte de notoriété
Articles 1157 et 1157-1 - Livret de famille
-
Arrêté du 1 juin 2006
fixant le modèle de livret de famille
NOR : JUS/C/0620319/A -
Décret n° 74-449 du 15 mai 1974
relatif au livret de famille et à l’information des futurs époux sur le droit de la famille modifié - Le livret de famille selon l’Igréc 612 à 637-2
-
Livret de famille délivré à la naissance en France du premier enfant d’un couple non marié
Question écrite n° 14265 et réponse, Sénat 8 juillet et 16 septembre 2010 - Mayotte : transition du droit local au droit commun et dérogations
- Déclaration dérogatoire de paternité (code civil, art. 2499-2 à 2499-5)
-
Ordonnance n° 2010-590 du 3 juin 2010
portant dispositions relatives au statut civil de droit local applicable à Mayotte et aux juridictions compétentes pour en connaître (fin de l’état civil local)
NOR : OME/O100612/R -
Décret n°2000-1262 du 26 décembre 2000
portant application de l’ordonnance n° 2000-219 du 8 mars 2000 et relatif aux actes de l’état civil et au livret de famille à Mayotte - modifié le 11 mai 2007 -
Ordonnance n° 2000-219 du 8 mars 2000
relative à l’état civil à Mayotte.
La validité du mariage de droit local est annulée par la loi 2006-911 du 24 février 2006 (art. 26 et 27 de l’ordonnance). -
Ordonnance n° 2000-218 du 8 mars 2000
fixant les règles de détermination des nom et prénoms des personnes de statut civil de droit local applicable à Mayotte
Institution pour dix ans de la commission de révision de l’état civil
NOR : INT/X/99/00149/R -
Décret n° 2000-1261 du 26 décembre 2000
portant application de l’ordonnance n° 2000-218 du 8 mars 2000 et relatif à la commission de révision de l’état civil à Mayotte - L’état civil consulaire en France
- L’officier d’état civil consulaire et le service central d’état civil (SCEC) de Nantes
-
Décret n° 2008-521 du 2 juin 2008
relatif aux attributions des autorités diplomatiques et consulaires françaises en matière d’état civil -
Décret n° 71-254 du 30 mars 1971
relatif au délai de déclaration des naissances à l’étranger devant les agents diplomatiques et consulaires -
Décret n° 65-422 du 1er juin 1965
portant création d’un service central d’état civil au ministère des affaires étrangères - Le service central d’état civil selon l’Igréc 520 à 520-3
- Transcription des actes d’état civil étrangers concernant des Français
-
Actes de l’état civil local transcrits sur les registres français - références
dans le décret du 3 août 1962 et dans l’Igréc -
Cour de cassation, civ. 1re, 9 décembre 1963
Si les intéressés peuvent demander la transcription sur les registres consulaires de tous les actes d’état civil concernant des Français dressés à l’étranger, ils ne sont pas tenus de faire opérer cette formalité. - Mariage des Français en pays étranger
-
Code civil - Le mariage des Français établi par les autorités étrangères et sa transcription
Articles 171-1 à 171-8 -
Décret du 26 octobre 1939
concernant les pays où les agents diplomatiques et consulaires sont autorisés à célébrer le mariage d’un Français avec une étrangère
Liste modifiée en 1958
Dissymétrie homme/femme supprimée en 2007 - Etat civil des étrangers devenus français
-
Code civil - Etat civil des personnes nées à l’étranger qui acquièrent la nationalité française
Articles 98 à 98-4 -
Décret n° 80-308 du 25 avril 1980
portant application des articles 98 à 98-4 et 99-1 du code civil relatifs à l’état civil des personnes nées à l’étranger qui acquièrent ou recouvrent la nationalité française et des articles 115 et 116 du code de la nationalité relatifs aux mentions intéressant la nationalité portées en marge des actes de naissance - Etablissement des actes des étrangers devenus français selon l’Igréc 521 à 526-1
- Etat civil établi dans une colonie ou un protectorat français avant l’indépendance
-
Loi n°68-671 du 25 juillet 1968
relative à l’état civil des Français ayant vécu en Algérie ou dans les anciens territoires français d’outre-mer ou sous tutelle devenus indépendants - L’état civil des réfugiés, apatrides et bénéficiaires de la protection subsidiaire
- Substitution de l’état civil du pays d’origine par celui de l’Etat d’accueil
-
La convention de New York
relative au statut d’apatride - article 12 -
La convention de Genève du 28 juillet 1951
relative au statut des réfugiés - article 12 -
Ceseda, livre VII - le droit d’asile - partie législative ⋅[Livre I, Titre II - après recodif.]⋅
notamment les articles L. 721-1 à L. 721-3 ⋅[L. 121-7 à L. 121-12 après recodif.]⋅ -
Ceseda, livre VII - le droit d’asile, partie réglementaire ⋅[Livre I - Titre II - administrations en charge de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile - après recodif.]⋅
notamment l’article R. 722-4 ⋅[R. 121-35 après recodif.]⋅ - Certificats délivrés aux réfugiés et apatrides selon l’Igréc 663-667
- Le livret de famille des réfugiés, apatrides et bénéficiaires de protection subsidiaire selon l’Igréc
-
Conseil d’Etat, 30 décembre 2010, n° 329956
L’Office a établi un certificat de mariage entre la requérante et M. F, un certificat de naissance de M. F comportant la mention de ce mariage et une fiche familiale comportant les noms des quatre enfants du couple : la filiation est reconnue. -
Conseil d’Etat, 15 décembre 2010, n° 330171
Un livret de famille délivré par l’Ofpra a valeur authentique. -
Conseil d’Etat, 27 juin 2008, n° 304197
L’article L. 111-6 du Ceseda n’autorise pas les agents diplomatiques et consulaires à vérifier l’authenticité des actes et documents établis par le directeur de l’Ofpra ? -
CA Paris, 18 mars 2010, n°09/22944
Rectification d’un certificat de naissance d’un réfugié qui avait déclaré une fausse identité - Permis de conduire
-
CAA de Paris, 17 Mars 2009, n° 07PA03685
Compétence du préfet pour échanger un permis de conduire algérien d’un réfugié contre un permis de conduire français - Rapprochement familial
-
Conseil d’Etat, 25 mai 2010, n° 325881
L’âge des enfants pouvant bénéficier de la procédure de regroupement familial pour réfugiés statutaires s’apprécie à la date à laquelle cette procédure est engagée - pas à celle du dépôt du dossier complet de demande de visa. -
Conseil d’Etat, 28 décembre 2007, n° 298626
Le fait qu’un réfugié s’est déclaré célibataire auprès de l’Ofpra au moment de la demande d’asile n’est pas suffisant pour écarter sa qualité de père d’un enfant. - La procédure de rapprochement familial
- Le contentieux de l’état civil étranger
- La force probante d’un acte d’état civil étranger
-
Article 47 du code civil
Sur la validité des actes d’état-civil. - Actes de l’état civil établis à l’étranger selon l’Igréc 486-1 à 504
-
Conseil d’Etat, 30 décembre 2010, n° 333766
Doute sur la force probante d’actes de naissance établis plusieurs années après la naissance sans être la conséquence de décisions des juridictions mauritaniennes - Contestation d’un acte d’état civil par l’administration
-
Loi n° 2000-321 du 12 avril 2000
relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations - notamment les articles 21 à 22-1.
NOR : FPP/X/9800029/L -
Cour de cassation, crim, 17 juillet 1991, n° 91-82771
Aucune force probante irréfragable ne s’attache aux actes de l’état civil des pays étrangers et en droit pénal français, la preuve peut se faire par tout moyen. - Contestation d’un acte d’état civil dans le cadre d’une demande de visa
-
Conseil d’État, 30 décembre 2010, n° 333766
Des actes établis plusieurs années après la naissance des enfants sans être la conséquence de décisions des juridictions mauritaniennes peuvent ne pas être authentiques. -
Le Conseil d’Etat annule ou suspend onze refus de visa fondés sur l’absence de force probante d’actes d’état civil bangladais
Arrêts pris en 2009 et 2010 -
Conseil d’Etat, 14 juin 2002, n°227019
Le consul général de France a commis une erreur de droit en refusant de délivrer un visa sans se fonder sur un motif d’ordre public dans le cadre d’un regroupement familial autorisé par le préfet, - Contentieux des transcriptions d’actes d’état civil
-
TGI de Nantes, 16 décembre 2010, n° 09-06538
10000 Euros de dommages et intérêt pour deux ans de retard à la transcription d’un acte de mariage - Cinq contentieux en vue de transcriptions d’actes de mariages franco-étrangers célébrés à l’étranger
- Jugements étrangers
-
Conseil d’Etat, 26 mars 2010, n° 322086
Un jugement du tribunal de Lomé qui a attribué l’autorité parentale a l’intéressé établit la filiation -
Conseil d’Etat, réf., 20 novembre 2009, n° 332369
Il n’appartient pas aux autorités administratives françaises de mettre en doute le bien-fondé d’une décision rendue par une autorité juridictionnelle étrangère, hormis le cas où le document aurait un caractère frauduleux. -
Cour de cassation, civ 1re, 11 juillet 1988, n° 86-18372 / 88-1850
Une cour d’appel est en droit d’estimer établie la possession d’état d’enfants naturels, en se fondant sur les attestations versées aux débats dont elle a souverainement apprécié la force probante . -
Jugements supplétifs d’actes de naissance rendus par les juridictions étrangères
Question écrite n° 00793 de M. Christian Cointat et réponse - Sénat 2002 - Preuves : possession d’état, titres et témoins
-
Code civil - La possession d’état
dans le cadre de la filiation, du mariage et de la nationalité -
Cour de cassation, civ 1re, 12 juillet 1960
Les difficultés rencontrées par les émigrés de l’Europe centrale dans la 1re partie du XXe siècle pour posséder des pièces d’état civil auxquelles il n’a pu être suppléé que par des indications approximatives peuvent conduire les juges à admettre des preuves de la qualité d’héritier par témoins et présomptions. -
Conseil d’Etat, 7 avril 2010, n° 327400
La preuve du caractère frauduleux du lien de filiation incombe à la Commission de recours contre les refus de visas. Le fait que l’acte de naissance de l’enfant, signé par le directeur des archives nationales d’Haïti, ne soit pas enregistré dans les registres de ce service ne constitue pas une telle preuve. -
Conseil d’Etat réf, 26 février 2010, n° 336018
En tout état de cause, la situation présente en Haïti ne permet pas de procéder à des recherches sur l’authenticité de [documents d’état civil], circonstance qui ne peut suffire à les écarter -
Cour de cassation, civ. 1re, 24 octobre 2000, n° 98-19962
En l’absence d’acte de l’état civil étranger probatoire et de décision judiciaire exécutoire en France, Mme Y... était recevable à faire la preuve par témoins de son mariage. -
Cour de cassation, civ 1re, 20 décembre 1993, n° 91-21401
Possession d’état : l’acte de décès de leur père précisait qu’il était le fils de X, ce qui était de nature à démontrer la notoriété publique du lien de filiation l’unissant à celle-ci. -
Cour de cassasion, civ. 1re, 12 juillet 1960
Les juges peuvent déduire que les émigrés (...) se trouvent dans l’impossibilité de produire les actes (requis) pour l’établissement de leur filiation par suite d’un cas de force majeure et leur permettre de prouver leur vocation à la succession litigieuse par titres et témoins. - Preuves de la filiation et de la minorité
-
Code civil - Preuves d’un lien de filiation, possession d’état et acte de notoriété
Articles 310-3 à 317 -
Code civil - Actions relatives à la filiation
Articles 318 à 341-1 -
Conseil d’Etat réf., 4 mars 2010, n° 336700
Injonction à prendre les mesures nécessaires pour l’entrée en France de A en vue de comparer ses empreintes génétiques et celles de sa mère -
CA Metz, 26 septembre 2005, n°05/00115
Il n’y a pas lieu, sur la seule prise en considération de l’estimation de l’âge, compte tenu du caractère imparfait et peu fiable des examens osseux et de l’absence d’autres éléments capables de les conforter, de mettre en cause la foi attachée à l’acte d’état civil remis par le jeune étranger. -
CA Lyon, 26 avril 2004, n°0400060
Pour établir la minorité d’un jeune étranger, le juge fait prévaloir l’extrait d’acte de naissance sur les conclusions de l’expertise osseuse, dont la méthode est considérée par le juge comme extrêmement douteuse. - Avis divers
- Publications
-
CIEC - Guide pratique international de l’état civil
Guide établi par la commission internationale de l’état civil - Document relatif à l’état civil en France -
La Cimade - « Visa refusé », 2010
Enquête sur les pratiques des consulats de France en matière de délivrance de visas -
Unicef - La situation des enfants dans le Monde, rapport 2006
« Exclus et invisibles » - Dossiers
- L’état civil haïtien et les exigences excessives de l’administration
-
Conseil d’Etat réf, 26 février 2010, n° 336018
En tout état de cause, la situation présente en Haïti ne permet pas de procéder à des recherches sur l’authenticité de [documents d’état civil], circonstance qui ne peut suffire à les écarter - Deux actes et un certificat de baptême pour authentifier la naissance d’un Haïtien
-
Etat civil et carte d’identité en Haïti
Rapport du collectif Haïti de France et du collectif Mom (migrants outre-mer), décembre 2009 - La fraude en matière d’actes d’état civil étrangers : quelques textes officiels
-
Circulaire du 1er avril 2003
relative à la fraude en matière d’actes d’état civil étrangers produits aux autorités françaises
NOR : JUS/C/0320085/C -
CIEC - La fraude en matière d’état civil dans les Etats membres
Étude de la commission internationale de l’état civil effectuée en 1996, actualisée en 2000 -
Vers un état civil moderne et respectueux de la dignité des citoyens
Rapport d’information n° 469 (2006-2007) de MM. Christian Cointat, Richard Yung et Yves Détraigne, fait au nom de la commission des lois et de la mission d’information de la commission des lois, déposé le 26 septembre 2007 -
Rapport d’information n° 353 (2006-2007) de M. Adrien Gouteyron, 27 juin 2007
« Trouver une issue au casse-tête des visas »
Notamment La fraude documentaire, un phénomène endémique
fait au nom de la commission des finances du sénat
X. Textes abrogés ou caducs
-
Décision n° 2010/252 du Conseil du 26 avril 2010
[Texte Caduc]
visant à compléter le code frontières Schengen en ce qui concerne la surveillance des frontières extérieures maritimes dans le cadre de la coopération opérationnelle coordonnée par l’Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des États membres de l’Union européenne -
Décision du Conseil 2004/904/CE du 2 décembre 2004
[Texte Abrogé]
établissant le Fonds européen pour les réfugiés pour la période 2005-2010 -
Décision du Conseil du 8 juin 2004
[Texte Abrogé]
portant création du système d’information sur les visas (VIS)
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